Décodage biologique
Nos symptômes physiques ou psychiques, nos blocages ou nos comportements peuvent être la conséquence naturelle, bio-logique (en deux mots) d’un stress spécifique et inconscient lié à un événement plus ou moins grave, survenu dans un contexte particulier au cours de notre vie.
A ce moment-là, notre être a été marqué par ce stress inattendu, d'intensité dramatique et conflictuelle importante, et vécu de manière isolée, sans que nous nous en rendions compte. Ajouté à cela, notre ressenti personnel du moment (sentiment de peur, ou de crasse, ou de dévalorisation, ...) fait que notre corps en portera la trace sur tel ou tel organe.
Vous avez le sentiment que vous êtes sujet à des symptômes chroniques ou répétitifs dont vous ne trouvez pas l'origine et dont vous n'arrivez pas à vous défaire ? Je vous propose une démarche de décodage biologique, comme accompagnement particulier de Relation d'Aide, pour vous aider à retrouver l'origine du choc générateur de stress et cause de ces symptômes, et pour "prendre vos distances" avec lui afin de ne plus en subir les conséquences.
« Depuis mon accident de ski, il y a un an et demi, je souffrais d'acouphènes. J'étais parti skier seul et je suis tombé dans une crevasse en fin d'après-midi, peu avant la fermeture des pistes de la station. Je me suis foulé la cheville en tombant et ne pouvais presque pas bougé. Grâce à mon téléphone portable, tombé dans ma chute à une dizaine de mètres de moi, après plusieurs heures d'angoisse importante, les secours m'ont tiré de ce mauvais pas. Ma cheville a été rapidement soignée mais des acouphènes se sont manifestés. Un bourdonnement quasi permanent emplissait mes oreilles.
Dans un premier temps, je n'avais associé mon accident de ski qu'avec ma blessure à la cheville. Puis, au cours d'une séance de Relation d'Aide, mon thérapeute m'a accompagné dans une pratique de "décodage biologique" pour tenter de comprendre d'où pouvaient venir ces acouphènes. Grâce à la prise de conscience du "bio-choc" que j'ai subi, j'ai pu faire le lien avec le silence "mortel" dans lequel je me suis trouvé pendant plusieurs heures dans l'attente des secours. Ce choc stressant m'avait fait ressentir et interpréter que le silence signifiait que les secours ne venaient pas, donc impliquait la mort. A partir de là, pour ne plus "entendre le silence", synonyme de mort potentielle, je "fabriquais" du bruit ...
Après cette prise de conscience salvatrice, j'ai travaillé en séance sur les émotions vécues à ce moment pour libérer mon corps de ce blocage.»
Témoignage
Michel D